L'adolescence d'Haïtika
 
(Couplet 1)
Dans le creux d'une étoile éteinte, un souffle nouveau est né
Un fragment d'univers en chair, un mystère incarné
Haïtika, son nom murmure, écho d'un lointain éther
Elle porte en elle des galaxies, sans jamais les dompter.
Ses pensées sont des nébuleuses, ses rêves, des champs d'astéroïdes
Mais le contrôle lui échappe, dans un chaos splendide.
 
(Pré-refrain)
Sans qu'elle ne le décide, sans qu'elle puisse l'arrêter
Son esprit déborde et façonne, la réalité retrouvée.
 
(Refrain)
Et voilà que ça s'anime, né de son esprit vagabond
Un monde prend forme en un clin d'œil, défiant toute raison.
Des rêves deviennent matière, sculptant l'air environnant
Haïtika, reine de l'imprévu, d'une simple volonté.
 
(Couplet 2)
Un jour, une simple envie, un désir pur et serein
De voir la paix sur la Terre, effacer toute la haine.
Et voilà que les armes rouillent, les guerres s'estompent au loin
Un silence bienheureux règne, comme un matin sans chagrin.
Le peuple, émerveillé, voit en elle une providence
Haïtika, reine malgré elle, par pure innocence.
 
(Pré-refrain)
Sans qu'elle ne le décide, sans qu'elle puisse l'arrêter
Son esprit déborde et façonne, la réalité retrouvée.
 
(Refrain)
Et voilà que ça s'anime, né de son esprit vagabond
Un monde prend forme en un clin d'œil, défiant toute raison.
Des rêves deviennent matière, sculptant l'air environnant
Haïtika, reine de l'imprévu, d'une simple volonté.
 
(Pont)
Elle ne comprend pas sa puissance, ce don venu d'ailleurs
Elle observe, humble et confuse, les miracles à toute heure.
On l'interroge, on cherche un sens, une logique à son pouvoir
Mais elle répond avec douceur : "Je sais qui je suis."
 
(Pré-refrain)
Sans qu'elle ne le décide, sans qu'elle puisse l'arrêter
Son esprit déborde et façonne, la réalité retrouvée.
 
(Outro) 
Haïtika, reine du hasard, assise sur un trône de lumière
Son règne est une énigme, une sagesse singulière.
Le monde entier la vénère, la plus sage de toutes les femmes
Celle qui, sans rien contrôler, a dompté toutes les flammes.
Haïtika... l'univers en elle... celle que je deviendrai...